Vol sans problème quoique un peu long avec escale à Bogota. Notre guide Luisa nous accueille avec boissons et empañadas. Nous logeons chez elle dans le quartier de Lince. Propreté limite. On voit qu'on peut entasser les gens. Heureusement que nous ne sommes que 5.
Après une bonne nuit réparatrice et un solide petit-déjeuner de pain tartiné à l'avocat, profitant de ce que le dimanche certaines avenues de Lima sont interdites à la circulation afin que les habitants puissent se promener sans danger, nous nous lançons à pied à l'assaut de cette capitale de 10 millions d'habitants répartis sur 2672 km2 . Nous nous attardons, un peu trop longtemps, sur un marché bio et découvrons la variété inépuisable de fruits et légumes qu'offrent les multiples climats de ces pays longitudinaux auxquels s'ajoute ici la disparité des altitudes. Le Pérou, c'est bien le Pérou ! Les paysans nous semblent très investis dans le mouvement neo-rural de la « permaculture ».
Puis visite de la vieille ville, seulement les extérieurs. Nous finirons par comprendre que les guides nous font traîner dans les marchés, ce qui peut rapporter aux commerçants, mais au détriment de la visite des musées qui coûtent.
Fourbus, nous rentrons en bus local à 2 sol par pers. Il est tard, nous sommes affamés. Notre guide choisit un « boui-boui » : une cour couverte dans laquelle donnent les WC. Nous goûtons le cibèche, plat national péruvien que l'on retrouve avec des variantes dans tout le Pacifique. Nous avons droit à une entrée et un plat principal (12 à 15 sols), « les péruviens ne prennent pas de dessert » et notre guide n'aime pas le sucré après le salé. Nous verrons quelques jours plus tard que tout dépend s'il est compris dans le menu ou non. Il nous faudra attendre une semaine de frustration avant de goûter aux magnifiques fruits que nous avons vus au marché et à nos frais, c'est Annie qui n'en pouvait plus qui a ouvert le bal.
En fin d'après midi, nous partons pour Pisco en bus local : 5heures sans arrêt technique... Nous y dînons à 10h du soir chez un membre de l'activité touristique, amie de Luisa. Grosse voiture. La maison serait assez bien si elle n'était pas si mal finie. Il y a des moyens et nous avons serviettes de toilette et eau chaude mais c'est toujours aussi sale.
Après une bonne nuit réparatrice et un solide petit-déjeuner de pain tartiné à l'avocat, profitant de ce que le dimanche certaines avenues de Lima sont interdites à la circulation afin que les habitants puissent se promener sans danger, nous nous lançons à pied à l'assaut de cette capitale de 10 millions d'habitants répartis sur 2672 km2 . Nous nous attardons, un peu trop longtemps, sur un marché bio et découvrons la variété inépuisable de fruits et légumes qu'offrent les multiples climats de ces pays longitudinaux auxquels s'ajoute ici la disparité des altitudes. Le Pérou, c'est bien le Pérou ! Les paysans nous semblent très investis dans le mouvement neo-rural de la « permaculture ».
Puis visite de la vieille ville, seulement les extérieurs. Nous finirons par comprendre que les guides nous font traîner dans les marchés, ce qui peut rapporter aux commerçants, mais au détriment de la visite des musées qui coûtent.
Fourbus, nous rentrons en bus local à 2 sol par pers. Il est tard, nous sommes affamés. Notre guide choisit un « boui-boui » : une cour couverte dans laquelle donnent les WC. Nous goûtons le cibèche, plat national péruvien que l'on retrouve avec des variantes dans tout le Pacifique. Nous avons droit à une entrée et un plat principal (12 à 15 sols), « les péruviens ne prennent pas de dessert » et notre guide n'aime pas le sucré après le salé. Nous verrons quelques jours plus tard que tout dépend s'il est compris dans le menu ou non. Il nous faudra attendre une semaine de frustration avant de goûter aux magnifiques fruits que nous avons vus au marché et à nos frais, c'est Annie qui n'en pouvait plus qui a ouvert le bal.
En fin d'après midi, nous partons pour Pisco en bus local : 5heures sans arrêt technique... Nous y dînons à 10h du soir chez un membre de l'activité touristique, amie de Luisa. Grosse voiture. La maison serait assez bien si elle n'était pas si mal finie. Il y a des moyens et nous avons serviettes de toilette et eau chaude mais c'est toujours aussi sale.